Chapter 12 The Infamy
Sherley Sherly et le Maléfice de Xiam
Chapitre n°12 L’infamie
Le commandant Thierry D’Ambroise réintégrait son poste, après une douloureuse convalescence hospitalière. Il sortait d’un coma profond. Il devait prendre une série de médicaments suite à son opération. (…).
Il rentra en sifflotant dans le bâtiment, déterminé à réitérer une augmentation de salaire à son chef Ryan Farlton, le commissaire auxiliaire de Scotland Yard.
L’accueil des collègues la veille, lui fit chaud au cœur (…).
Avec tous les frais de missions en dépassement, il dû exceptionnellement puiser dans ses fonds propres, pour le remboursement des imprévus de la dernière affaire. Alors, il demanda à Vicky Belloy et Harper Green d’effectuer, un listing précis. (…) Le succès tant espéré, se concrétisa par l’arrestation et l’emprisonnement des malfaiteurs dans une affaire de trafic international (….) brillamment résolu.
En conséquence, son patron lui promit monts et merveilles :
- Vous savez D’Ambroise, je ne vous ai pas tellement apprécié à votre arrivée, dans mon service, (…) mais le temps a passé et avec votre franc succès, je ne peux que m’incliner devant vos méthodes, lui annonça Ryan Farlton.
Voyant l’air surpris de D’Ambroise, il ajouta, vous me ferez vos propositions qui seront étudiées de près, et je vous informerai de ma décision. Prenez le temps de vous remettre de votre blessure.
La trentaine passée, il s’en voulait d’être toujours méfiant quand il s’agissait de son métier. Il avait eu des hauts et des bas avec son supérieur. Les tensions apaisées, lui faisait du bien au moral. Ainsi, D’Ambroise espérait un peu de bienveillance de son supérieur après les bons et loyaux services effectués depuis quatre ans.
Son patron le fit appeler ce matin là dans les locaux. Le policier s’attendait à une agréable récompense et surtout à une promotion.
-
Ce sera une belle journée, le jour de mon anniversaire, pensa t-il.
Vicky Belloy, et Harper Green l’avait accompagné à la cérémonie de remise de sa récompense.
- Bon sang Thierry ! Tu es un super agent efficace, qui n’a jamais perdu aucune affaire.
- Grâce à une excellente équipe ! Ajouta D’Ambroise ravi. Ils s’attendaient à tous les honneurs.
- Commandant nous allons enfin avoir nos locaux dignes d’une unité d’élites. Modernes, avec une haute technologie, comme l’architecte monsieur Sherly a conçu le prototype conçu, dit Vicky, heureuse.
- Dommage que le groupe soit dissous, dit D’Ambroise ému.
Son chef l’attendait dans un bureau réservé aux attachés de presses. D’Ambroise entra impressionné devant un parterre de plusieurs gradés.
Il n’y avait personne dans la salle. Il chercha des yeux ses amis.
- Commandant d’Ambroise savez-vous pourquoi nous vous avons convoquez ici ?
- Oui. J’ai résolu l’affaire des informaticiens hackers. Mais je suis surpris de ne pas voir ceux qui m’accompagnaient.
- Les agents Belloy, et Green sont retournés à leur taches, annonça durement Farlton.
- Je ne comprends pas pourquoi ?
- Vraiment commandant d’Ambroise ? Coupa son chef un sourire aux lèvres.
- Dois-je m’attendre à une nouvelle entourloupe de sa part ? Pensa D’Ambroise interloqué.
- Commandant Thierry d’Ambroise, vous avez été déclassé au vu des terribles faits.
- Quoi ?
- Vous devenez Monsieur D’Ambroise à partir de maintenant, déclara un homme.
Lorsqu’il vit son chef quitter la pièce en le laissant avec quatre supérieurs, il se doutait que l’accusation sera des plus odieuses.
- De quoi m’accuse t-on ?
- De haute trahison, assena un autre homme en regardant une feuille.
Avant qu’il ne quitte la pièce, D’Ambroise hurla.
- Farlton ! Qu’avez-vous encore inventé pour me dénigrer ?
- Je ne vous permets pas ! Brailla Farlton qui s’arrêta net.
- Je me tape de votre permission ! Quels pays seraient l’heureux destinataire de ma soi-disant trahison ?
- Heu ! Donc nous nous exprimons au nom du gouvernement de la Reine d’Angleterre. Vous êtes monsieur D’Ambroise accusé de haute trahison envers notre pays pour divulgations d’informations confidentielles défense en faveur de la République populaire de Chine !
Les yeux écarquillés, en entendant l’accusation infâme, D’Ambroise ne put s’empêcher de rires aux éclats.
Au bout d’un moment, il s’arrêta et s’assit devant ses accusateurs aux visages tendus.
- Et qui donc m’accuse ?
- Les faits sont tenus, commandant D’Ambroise heu… monsieur d’Ambroise. Regardez cette vidéo !
Ce fut avec stupéfaction que D’Ambroise visionna une séquence, où il entrait dans un hôtel pékinois, qu’il ne connaissait pourtant pas. (…)
Il serrait la main à un homme.
- C’est ridicule ! Cela ne peut être moi !
- On vous voit parfaitement avec Clifford Willetter. Il a été renvoyé de son poste par son père Aston Willetter, qui dirigeant de la Loyang Line.
- Et devinez pourquoi ? Asséna Farlton.(…)
Sherley Sherly et le Maléfice de Xiam
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